(…) Mais à partir de 1986, les architectes qui construisent à Marne-la-Vallée pour les promoteurs privés des immeubles en accession non aidée puisent à leur tour largement dans les répertoires post-modernes historicistes ou néo-régionalistes, encouragés en cela au sein de l’Epamarne par une nouvelle équipe d’aménageurs soucieuse d’un retour à une urbanité plus « classique ». Tandis que les revues architecturales françaises considèrent le débat sur le post-modernisme comme clos, ses formes et ses figures sont alors relayées avec succès par les professionnels de l’immobilier. (Extrait)