Dans le contre-jour de nos applis, visibilités et invisibilités numériques au début du 21ème siècle
L’esthétique de Paris n’est pas un style, mais seulement l’ensemble des habitudes et des règles à partir desquelles nous y départageons le visible, le transparent et l’invisible ; et avec lesquelles nous distinguons les architectures des infrastructures, les projets des process, les choses des phénomènes. Mais les développements récents du numérique nous incitent aujourd’hui à réviser nos catégories. Contribution à l’ouvrage collectif conçu par le Pavillon de l’Arsenal et Baptiste Lanaspeze, accompagnée d’une illustration originale réalisée par MLAV.LAND.
in coll. La Beauté d’une ville, Paris : Wild Project/Pavillon de l’arsenal, 2021